vendredi 12 juin 2020

Fête du Saint Sacrement

🔆 Nous voilà pris dans l’engrenage de nos vies quotidiennes. Travail, soucis, déplacements,
visites, loisirs… encombrent nos journées et nous enferment dans un cercle infernal où nous ne partageons plus rien en profondeur. Nous désirons pourtant autre chose: nous désirons vivre, communiquer avec les autres, participer à la construction d’une œuvre qui dure, une œuvre de vie qui brise le cercle de l’enfermement. Dans la vie partagée avec d’autres s’ouvre un univers de communion.
    Au désert, le peuple de l’Exode s’est enfermé dans ses revendications; il ne partage plus rien ni avec Dieu, ni avec Moïse. Alors Dieu lui donne la manne, nourriture périssable mais qui va rétablir le partage et faire comprendre au peuple que sa vraie faim est ailleurs: le désir d’une parole et d’une présence partagées (première lecture).
    Nous le savons bien: il ne suffit pas de manger ensemble tous les jours pour être unis. Et pourtant, quand on ne peut plus manger ensemble, c’est que les liens se sont rompus. Ainsi en est-il de l’Eucharistie, repas du Seigneur. Elle est le ferment de l’unité que nous avons à faire et à partager (deuxième lecture). Car le pain non partagé fait mourir de faim ceux qui n’en ont pas et enferme dans leur indifférence ceux qui en sont gavés. Le pain que le Christ nous donne est plus que du pain : il est sa vie partagée, partage de la vie même de Dieu, et qu’il nous demande de partager à notre tour avec tous ceux qui ont faim de la Parole et soif du don de la grâce.
    L’Eucharistie. Suprême don d’un Dieu qui nous partage sa vie, nous invite à briser nos enfermements pour, à, notre tour, devenir pain et vin pour le monde.

🔆 Plus d'info sur la FEUILLE hebdomadaire

✙ Pour ceux qui n'osent pas encore sortir de leurs maisons, qui se sont fragiles... nous proposons la Célébration de la Parole de Dieu chez vous:

Tous sont assis. Le Conducteur de la célébration prend la parole:
Frères et sœurs,
aujourd'hui, en ce dimanche du Saint Sacrement,
des circonstances exceptionnelles nous empêchent de participer
à l’Eucharistie dans notre église.
Néanmoins, nous savons bien que lorsque nous nous réunissons au nom de Jésus
il est présent au milieu de nous.
Et nous nous souvenons que lorsqu’on lit l’Écriture en Église,
c’est le Verbe de Dieu lui-même qui nous parle.
Sa parole est alors nourriture pour notre vie.
C’est pourquoi nous allons ensemble, en communion avec toute l’Église,
nous mettre à l’écoute de cette Parole.

Au cours de cette célébration,
nous implorons la Miséricorde de Dieu pour que cesse l’épidémie qui menace le monde et notre pays,
pour les personnes malades et celles qui sont décédées,
pour leurs amis et leurs familles,
et pour tous ceux qui œuvrent au service des autres en luttant contre ce fléau.

Maintenant, nous nous préparons à ouvrir nos cœurs, en faisant silence.

Après un vrai temps de silence, tous lèvent et se signent en disant:
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.

Le Conducteur poursuit:
Pour nous préparer à accueillir la parole de Dieu et pour qu’elle nous transforme, nous nous reconnaissons pécheurs.

On dit ensuite le rite pénitentiel. Par exemple:
Seigneur, prends pitié.
     Seigneur, prends pitié.
Ô Christ, prends pitié
     Ô Christ, prends pitié
Seigneur, prends pitié.
     Seigneur, prends pitié.

Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde; qu’il nous pardonne nos péchés et nous conduira à la vie éternelle. Amen.

Le Conducteur dit l’oraison:
    Seigneur Jésus Christ, dans cet admirable sacrement, tu nous as laissé le mémorial de ta passion ; donne-nous de vénérer d’un si grand amour les mystères de ton corps et de ton sang, que nous puissions recueillir sans cesse le fruit de ta rédemption. Toi qui vis et règne avec le Père et le Saint-Esprit, maintenant et pour les siècles de siècles. Amen.

Celui qui est chargé de faire la première lecture reste debout pendant que les autres s’assoient.

Lecture du livre du Deutéronome (Dt 8, 2-3.14-16a)
    Moïse disait au peuple d’Israël: «Souviens-toi de la longue marche que tu as faite pendant quarante années dans le désert; le Seigneur ton Dieu te l’a imposée pour te faire passer par la pauvreté; il voulait t’éprouver et savoir ce que tu as dans le cœur: allais-tu garder ses commandements, oui ou non? Il t’a fait passer par la pauvreté, il t’a fait sentir la faim, et il t’a donné à manger la manne – cette nourriture que ni toi ni tes pères n’aviez connue – pour que tu saches que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de tout ce qui vient de la bouche du Seigneur. 
    N’oublie pas le Seigneur ton Dieu qui t’a fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage.
    C’est lui qui t’a fait traverser ce désert, vaste et terrifiant, pays des serpents brûlants et des scorpions, pays de la sécheresse et de la soif. C’est lui qui, pour toi, a fait jaillir l’eau de la roche la plus dure. C’est lui qui, dans le désert, t’a donné la manne – cette nourriture inconnue de tes pères.»

- Parole du Seigneur.
    Nous rendons grâce à Dieu.

Celui qui fait la lecture du psaume se met debout, les autres restent assis.

PSAUME (Ps 147, 12-13, 14-15, 19-20)

R/ Glorifie le Seigneur, Jérusalem! 

Glorifie le Seigneur, Jérusalem!
Célèbre ton Dieu, ô Sion!
Il a consolidé les barres de tes portes,
dans tes murs il a béni tes enfants.

Il fait régner la paix à tes frontières,
et d’un pain de froment te rassasie.
Il envoie sa parole sur la terre:
rapide, son verbe la parcourt.

Il révèle sa parole à Jacob,
ses volontés et ses lois à Israël.
Pas un peuple qu’il ait ainsi traité;
nul autre n’a connu ses volontés.

SÉQUENCE

Sion, célèbre ton Sauveur,
chante ton chef et ton pasteur
par des hymnes et des chants.

Tant que tu peux, tu dois oser,
car il dépasse tes louanges,
tu ne peux trop le louer.

Le Pain vivant, le Pain de vie,
il est aujourd’hui proposé
comme objet de tes louanges.

Au repas sacré de la Cène,
il est bien vrai qu’il fut donné
au groupe des douze frères.

Louons-le à voix pleine et forte,
que soit joyeuse et rayonnante
l’allégresse de nos cœurs!

C’est en effet la journée solennelle
où nous fêtons de ce banquet divin
la première institution.

À ce banquet du nouveau Roi,
la Pâque de la Loi nouvelle
met fin à la Pâque ancienne.

L’ordre ancien le cède au nouveau,
la réalité chasse l’ombre,
et la lumière, la nuit.

Ce que fit le Christ à la Cène,
il ordonna qu’en sa mémoire
nous le fassions après lui.

Instruits par son précepte saint,
nous consacrons le pain, le vin,
en victime de salut.

C’est un dogme pour les chrétiens
que le pain se change en son corps,
que le vin devient son sang.

Ce qu’on ne peut comprendre et voir,
notre foi ose l’affirmer,
hors des lois de la nature.

L’une et l’autre de ces espèces,
qui ne sont que de purs signes,
voilent un réel divin.

Sa chair nourrit, son sang abreuve,
mais le Christ tout entier demeure
sous chacune des espèces.

On le reçoit sans le briser,
le rompre ni le diviser;
il est reçu tout entier.

Qu’un seul ou mille communient,
il se donne à l’un comme aux autres,
il nourrit sans disparaître.

Bons et mauvais le consomment,
mais pour un sort bien différent,
pour la vie ou pour la mort.

Mort des pécheurs, vie pour les justes;
vois : ils prennent pareillement;
quel résultat différent!

Si l’on divise les espèces,
n’hésite pas, mais souviens-toi
qu’il est présent dans un fragment
aussi bien que dans le tout.

Le signe seul est partagé,
le Christ n’est en rien divisé,
ni sa taille ni son état
n’ont en rien diminué.

* Le voici, le pain des anges,
il est le pain de l’homme en route,
le vrai pain des enfants de Dieu,
qu’on ne peut jeter aux chiens.

D’avance il fut annoncé
par Isaac en sacrifice,
par l’agneau pascal immolé,
par la manne de nos pères.

Ô bon Pasteur, notre vrai pain,
ô Jésus, aie pitié de nous,
nourris-nous et protège-nous,
fais-nous voir les biens éternels
dans la terre des vivants.

Toi qui sais tout et qui peux tout,
toi qui sur terre nous nourris,
conduis-nous au banquet du ciel
et donne-nous ton héritage,
en compagnie de tes saints. Amen.

Celui qui est chargé de faire la deuxième lecture se met debout pendant que les autres restent assis.

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (1 Co 10, 16-17)
    Frères, la coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas communion au sang du Christ?Le pain que nous rompons, n’est-il pas communion au corps du Christ? Puisqu’il y a un seul pain, la multitude que nous sommes est un seul corps, car nous avons tous part à un seul pain.

- Parole du Seigneur.
    Nous rendons grâce à Dieu.

Tous se lèvent au moment où l’on dit ou chante l’acclamation de l’Évangile.
Alleluja, Alleluja.
    Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel, dit le Seigneur;
    si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement.
Alleluja, Alleluja.

L’Évangile, cependant, n’est pas proclamé, mais simplement lu. Celui qui en fait la lecture se contente de dire, avec sobriété:

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 6, 51-58)
    En ce temps-là, Jésus disait aux foules des Juifs: «Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel: si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde.»
    Les Juifs se querellaient entre eux: «Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger?»
    Jésus leur dit alors: «Amen, amen, je vous le dis: si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas la vie en vous. Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
    En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui. De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Tel est le pain qui est descendu du ciel: il n’est pas comme celui que les pères ont mangé. Eux, ils sont morts; celui qui mange ce pain vivra éternellement.»

– Acclamons la Parole de Dieu.
    Louange à toi Seigneur Jésus

On garde le silence pour la méditation personnelle et silencieuse.
Puis tous professent la foi de l’Eglise en disant le symbole des apôtres.
Tous restent debout et on peut présenter les intentions de la prière universelle.
✙ Saint Sacrement...
    Aujourd’hui, tant de pays encore sont soumis à la faim. Même dans nos sociétés dites évoluées: des hommes, des femmes des enfants ne mangent pas à leur faim. Contre des situations de ce genre, les pouvoirs publics mais surtout des associations se mobilisent pour tenter de lutter contre ces fléaux. C’est dans ce climat que nous venons d’entendre la lecture du Deutéronome où Dieu ose dire à son peuple par l’intermédiaire de Moïse, que la longue traversée du désert avait aussi pour but de faire éprouver la faim à son peuple.
    Éprouver la faim! Je ne sais pas si cela vous est arrivé. C’est une expérience dure. C’est une expérience que bien des chrétiens n’ont plus guère l’occasion de connaître car le jeûne est devenu rare. C’était jadis le sens du jeûne qui précédait la communion. Pour communier, il fallait être à jeun, et ce jeûne eucharistique durait initialement 24 heures! Apres le Vaticanum Secundum réduit à 1 heur avant la communion – et il est toujours en vigueur!
    Il fallait avoir faim – il faut toujours avoir faim de cette nourriture céleste. Nous communions aujourd’hui plus facilement qu’autrefois. Nous sommes libres et par rapport à la confession qui devait précéder presque chaque communion et vis-à-vis de ce jeûne. Pourtant une autre dimension nous manque sans doute: Il manque la faim, il manque le jeûne, il manque l’approfondissement de notre désir.
    Le jour où, pour la première fois, il a célébré la fraction du pain – le jeudi saint – Jésus a dit: «J’ai désiré d’un grand désir manger cette Pâque avec vous». Lorsque nous partageons le corps et le sang du Christ c’est d’abord à son désir à lui que nous répondons. Car ce qu’il a dit ce soir-là à ses disciples, il nous le dit encore aujourd’hui. Nous approcher de l’autel, au moment de la communion, pour recevoir le pain consacré – le corps du Christ – c’est combler ce désir de Jésus qui veut toujours partager cette Pâque avec nous. Comme il le dit dans l’Apocalypse, Jésus se tient à notre porte et il frappe. C’est lui qui est demandeur. Il attend que nous lui ouvrions la porte pour partager le repas avec nous.
    Notre désir à nous est parfois sans doute un peu court. Il n’est même pas exclu qu’il se glisse un peu d’habitude, de routine dans nos communions. Pour beaucoup d’entre nous c’est devenu comme naturel. À peine prenons-nous vraiment la peine de nous préparer à cette incroyable rencontre. Dans ce partage nous sommes associés à la communion de Jésus avec son Père dans le mystère de sa mort et de sa résurrection. Comme l’écrit l’Apôtre Paul, la coupe que nous bénissons est communion au sang du Christ. Elle est union au sang versé par amour pour le Père et pour nous.
    On n’est jamais seul quand on communie. Le désir qui nous y porte n’est pas seulement le nôtre. C’est celui de tant de gens dans le monde. Dans l’eucharistie, dans la prière, dans chaque rencontre avec le Christ, nous pouvons nous sentir comme les porteurs du désir de l’humanité.
    Tout à l’heure, juste avant la communion, je vais vous présenter le pain consacré – le corps du Christ. Je vous dirai alors: «Voici l’agneau de Dieu qui enlève le péché du monde». Dans chaque messe, c’est le désir de Jésus qui rencontre le désir des hommes et pas seulement le désir de ceux qui viennent communier.
    Il y a dans le monde tant de gens qui travaillent à ôter le mal de ce monde. Ce sont ces gens-là que nous représentons. Certains connaissent le Christ, d’autres l’ignorent ou le combattent mais la communion que nous faisons prend en compte cet immense effort de l’humanité. Jésus est venu pour que tous aient la vie. Cette vie qu’il communique en nous donnant son corps à manger, c’est au monde entier que, par nous, elle est communiquée.
    Nous accomplissons, par la communion, le désir du Christ qui est de rejoindre tous les hommes en un seul corps pour la gloire du Père.
    Soyons la gloire de notre Père céleste!

Prière universelle
Que la Parole de Dieu travaille notre cœur et nourrisse les mots de notre prière...

    Refrain: Toi qui nous aimes, écoute-nous Seigneur.
  • En cette fête du Corps et du Sang du Christ, pour que la ferveur eucharistique grandisse chez tous les chrétiens : que par l’ensemble de ses membres l’Eglise fasse rayonner la présence du Seigneur dans le Très Saint Sacrement, ensemble prions… R
  • En cette fête du Saint Sacrement pour le peuple immense des affamés, tous ceux qui font la longue marche dans le désert de la solitude, du chômage, des détresses de toutes sortes... Que l'eucharistie, source de partage, nous aide à les relever, ensemble prions… R
  • En cette fête Dieu, pour la multitude des chrétiens, membres du même Corps et nourris du même Pain... Que nos prières, nos rencontres, nos démarches, nos conversions renforcent la communion entre les disciples du même Seigneur, ensemble prions... R
  • En cette fête du Saint Sacrement, pour notre communauté rassemblée autour de la table: qu'elle accueille avec toujours plus d'ardeur l'immense amour du Seigneur et découvre la joie d'une eucharistie partagée entre frères, ensemble prions… R
À la fin, le Conducteur, introduit à la prière dominicale:
Unis dans l’Esprit et dans la communion de l’Église, nous osons prier comme le Seigneur Jésus lui- même nous l’a enseigné:
On dit ou on chante le Notre Père:
Notre Père…
Et on enchaîne immédiatement:
Car c’est à toi…

Puis le Conducteur invite au partage de la paix:
Nous venons d’unir notre voix à celle du Seigneur Jésus pour prier le Père.
Nous sommes fils dans le Fils.
Dans la charité qui nous unit les uns aux autres, renouvelés par la parole de Dieu,
nous pouvons échanger un geste de paix,
signe de la communion que nous recevons du Seigneur.

Tous échangent alors une salutation de paix à distance, par exemple en s’inclinant profondément les uns vers les autres tour à tour ; ou bien, en famille, en s’envoyant un baiser avec deux doigts sur les lèvres.
On s’assied.
________________________________________________________________________________

Communion spirituelle
Le Conducteur dit:
Quand nous ne pouvons pas recevoir la communion sacramentelle à la Messe,
le pape saint Jean-Paul II nous invite à pratiquer la communion spirituelle,
appelée aussi “communion de désir”.
Le Concile de Trente nous rappelle que celle-ci
“consiste dans un ardent désir de se nourrir du Pain céleste,
avec une foi vive qui agit par la charité
et qui nous rend participants des fruits et des grâces du Sacrement”.
La valeur de notre communion spirituelle
repose donc sur notre foi en la présence du Christ dans l’eucharistie
comme source de vie, d’amour et d’unité,
et sur notre désir d’y communier.
Dans cet esprit, je vous invite maintenant à vous asseoir,
à incliner votre tête, à fermer les yeux et à vous recueillir.
Silence
Au plus profond de notre cœur,
laissons monter en nous le désir ardent de nous unir à Jésus,
dans la communion sacramentelle,
et de faire vivre ensuite son amour dans nos vies,
en aimant les autres comme il nous a aimés.

On reste en silence pendant quelques minutes pour un cœur à cœur avec Jésus.
On chante un cantique d’action de grâce. On se met debout.
Le Conducteur dit, au nom de tous, la formule de bénédiction:

Par l’intercession de sainte Thérèse - patronne de notre paroisse, de tous les saints et saintes de Dieu, que le Dieu de la persévérance et du courage nous donne de manifester par toute notre vie l’Esprit d’amour du Christ Jésus.
Ainsi, d’un même cœur et d’une même voix, nous rendrons gloire à Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, pour les siècles des siècles! Amen.

On peut clore la célébration en chantant une antienne ou un cantique à la bienheureuse vierge Marie.

🔆 Ce Dimanche dans l’après-midi – adoration du Saint Sacrement à 16h00 à Allonnes, puis à 18h30 en polonais à La Breille les Pins.