lundi 28 mars 2022

vendredi 25 mars 2022

4 Dimanche de Carême - Laetare

Ù Pour la semaine qui vient

Un Père qui pardonne.
    Comment, en lisant cet évangile, ne pas se rappeler ces propos de Charles Péguy «Si tous les exemplaires de l’Évangile devaient être détruits dans le monde, il faudrait que l’on garde au moins une page, celle qui relate la parabole de l’enfant prodigue, pour comprendre enfin qui est Dieu: ce Père qui veille, qui attend, ouvre ses bras, pardonne…»? 
    C’est vrai: cette page d’évangile est extraordinaire, peut être une des paraboles les plus émouvantes des milliers de jeunes s’éloignent de la maison paternelle avec le désir d’affirmer leur autonomie et d’exercer leur liberté. Prenant leur part d’héritage, ils quittent famille, village et pays, symboles souvent d’ennui et de monotonie. Ils pensent trouver bonheur et opportunités dans un ailleurs imaginaire. Mais le rêve ne correspond pas toujours à la réalité et le retour n’est pas facile… on pense que l’herbe est toujours plus verte ailleurs.

Laissez-vous réconcilier avec Dieu.
    «Laissez-vous réconcilier avec Dieu», lance saint Paul en écho (deuxième lecture). C’est le monde entier qui a besoin d’être, réconcilié avec Dieu et il ne faut rien de moins que le Fils pour opérer cette réconciliation, pour revêtir l’humanité de la justice même de Dieu. Alors tout est renouvelé, tout est sanctifié. Encore faut-il y consentir, encore faut-il accepter d’entrer dans la joie du Père. L’eucharistie rassemble des pécheurs pardonnés qui célèbrent dans l’action de grâce leur passage de la mort à la vie. Il reste à travailler à cette réconciliation et à devenir ses ministres et ses serviteurs.

La joie du Fils prodigue.
    Quelle joie de retrouver cet évangile au quatrième dimanche de Carême tant la miséricorde divine, comme le sens de cette parabole, est inépuisable. Il n’est pas alors sans conséquence de mentionner que ce dimanche est celui du «laetare» (réjouissez-vous). La joie jaillit des fêtes pascales qui approchent et qui feront mémoire de la réconciliation de Dieu avec l’humanité (prière d’ouverture). Laissez-vous réconcilier, cette réconciliation qu’il nous faut sans cesse rechercher n’est pas la condition pour que Dieu nous aime mais la conséquence de son amour absolu. Ceux qui sont parents savent que l’accueil aimant et sans condition d’un enfant est une tâche parfois rude, voire insurmontable quand il n’y a pas de blessures réciproques. Ils apprennent pendant le Carême à être plus authentiquement père ou mère et cela en devenant eux-mêmes des fils qui se savent pardonnés par Dieu.

  • Tous les vendredis de Carême - Chemin de Croix à 15h00 (le prochain 1 avril à Villebernier)
  • Tous les lundis de Carême - les LAUDES (prière du matin avec les psaumes) à Allonnes à 7h00
Ù La FEUILLE hebdomadaire à imprimer et partager avec vos voisins!




lundi 21 mars 2022

Annonciation du Seigneur

La fête de l’Annonciation, célébrée le 25 mars, commémore l’annonce faite par l’ange Gabriel à Marie de sa maternité prochaine. Le messager de Dieu l’avertit qu’elle donnera naissance à un enfant s’appelant Jésus et qu’il est le Messie attendu par le peuple juif, venu libérer Israël et restaurer le lien avec Dieu.

La date de l’Annonciation a très probablement été fixée une fois celle de la naissance du Christ établie. Né le 25 décembre, il était donc facile de dater sa conception divine, neuf mois auparavant, au 25 mars.

Le récit de l’Annonciation (Lc 1,26-38):
    Le sixième mois, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie.
    L’ange entra chez elle et dit: «Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi.»
    À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation.
L’ange lui dit alors: «Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin.»
    Marie dit à l’ange: «Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d’homme?»
    L’ange lui répondit: «L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile. Car rien n’est impossible à Dieu.»
    Marie dit alors: «Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole.» Alors l’ange la quitta.

L’Annonciation faite à Marie, un célèbre "Fiat"

    L’attitude réceptive de Marie à cette parole étonnante est devenue un modèle pour tout chrétien qui cherche à accueillir la Parole de Dieu. Dans les Évangiles, Marie apparaît comme une jeune femme juive, pieuse et pétrie des prières, textes et psaumes qui nourrissent sa pratique religieuse quotidienne. Ayant connaissance de l’oracle du prophète Isaïe, elle attend avec tout le peuple hébreu, un signe de la venue de Dieu sur terre dans le corps d’un «enfant né d’une vierge»:
"Le Seigneur lui-même vous donnera un signe: Voici, la jeune femme/vierge est enceinte; elle va enfanter un fils et on l’appellera Emmanuel (avec nous Dieu)" (Is 7, 14)

    D’abord troublée d’être l’objet de la grâce divine, Marie accepte avec confiance la proposition qui lui est faite d’enfanter «le Fils de Dieu» par la grâce de l’Esprit Saint. En théologie, le «Fiat» (subjonctif du verbe latin facere, «faire») désigne le «Oui» de la Vierge Marie lorsqu’elle accepte de porter «le Verbe». On le traduit par «Qu'il me soit fait selon ta Parole» ou «ainsi soit-il», et il renvoie au lien établi – tout en confiance et obéissance – entre l’humanité et Dieu.

Messe en honneur de la Vierge Marie
vendredi 25 mars à 9h00 à Russé


Ce même vendredi 25 mars, que le Pape François consacrera la Russie et l’Ukraine au Cœur Immaculé de Marie.

    Lors de l’apparition du 13 juillet 1917 à Fatima, la Vierge avait demandé la consécration de la Russie à son cœur immaculé, déclarant que si cette demande n’était pas accordée, la Russie répandrait «ses erreurs dans le monde entier, favorisant les guerres et la persécution de l’Église». «Les bons, avait-elle ajouté, seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, diverses nations seront détruites».



    Après les apparitions de Fatima, il y a eu divers actes de consécration au Cœur Immaculé de Marie: Pie XII, le 31 octobre 1942, consacra le monde entier et, le 7 juillet 1952, consacra les peuples de Russie au Cœur Immaculé de Marie dans la lettre apostolique Sacro vergente anno: «De même qu’il y a quelques années, nous avons consacré le monde entier au Cœur Immaculé de la Vierge Mère de Dieu, nous consacrons aujourd’hui, de manière toute particulière, tous les peuples de Russie à ce même Cœur Immaculé.»






samedi 19 mars 2022

3 Dimanche de Carême

Ù La conversion ou la mort.
    Vouloir changer consciemment notre manière d’être, déloger nos exclusions, cesser nos propos violents, renoncer à tout ce qui est stérile dans nos relations avec les autres devient urgent. Non parce qu’il faut moraliser nos comportements mais parce qu’il en va de notre vie. Voulons-nous vivre ou mourir?
    Malgré les récits radicaux de l’évangile; le massacre des Galiléens, la chute de la tour de Siloé, la parabole du figuier stérile, Dieu ne se résigne pas à la mort définitive du pécheur. Loin de te résigner à nos ruptures d’alliance «tu as noué un lien si fort que rien ne pourra le défaire».
    Nous sommes à un tournant du Carême. La célébration du mercredi des Cendres avait insisté sur le jeûne, la prière et le partage, mais essentiellement pour nous dire de les pratiquer sans ostentation. Peut-être est-il nécessaire maintenant que nous entendions qu’ils sont les remèdes que nous donne l’Église pour guérir et mener une vie féconde. Et qu’il n’y a pas à chercher une autre chose que les mettre en pratique. La pédagogie ecclésiale a fait ses preuves. En l’acceptant, nous reconnaissons que nous avouons notre faiblesse. Le mouvement de notre conversion est amorcé.

Ù Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez!
  • Se convertir: ton appel retentit plus fort durant le Carême.
  • Se convertir: ce mot engendre la tristesse, la peur; on ne voit que le renoncement, alors que c’est un appel à la vraie vie, à la vraie joie, au véritable amour.
  • Se convertir, c’est se détourner de ce qui entrave, pour se retourner vers ce qui libère, vers ce qui épanouit et fait produire du fruit... C’est nous détourner de nous pour nous retourner vers toi, nous ouvrir toujours plus à toi... et nous laisser conduire par ton Esprit.
    Le Carême – temps pour mieux connaître le Seigneur. Faire ce chemin de Carême, c’est rester en capacité d’éveil. Tenter ce chemin de conversion, c’est croire que notre péché n’est pas le résumé de notre vie. Osons marquer ce temps de l’Eglise, pour donner de meilleurs fruits! Que chacune de nos messes soit une nouvelle conversion.

  • Tous les vendredis de Carême - Chemin de Croix à 15h00 (le prochain 25 mars à Vivy)
  • Tous les lundis de Carême - les LAUDES (prière du matin avec les psaumes) à Allonnes à 7h00
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jeudi 17 mars 2022

Fête de Saint Joseph

Le 19 mars l'Église célèbre la solennité de Saint Joseph, époux de Marie.

    C'est comme une parenthèse dans l'austérité du Carême. Mais dans la joie de cette fête, rien ne nous empêche de pouvoir continuer à avancer dans le chemin de la conversion, propre des jours du Carême.
    Joseph est bien celui qui, élevant son regard, s'efforce pour s'adapter au plan de Dieu. Et Joseph est bien aussi celui qui, regardant les autres, essaie toujours d'interpréter dans le bon sens toutes leurs actions afin de sauvegarder leur bonne renommée. C'est dans ces deux aspects de la bonté que Saint Joseph nous apparaît dans l'Évangile d'aujourd'hui.

    Sur chacun de nous Dieu a un plan d'amour, car «Dieu est amour» (1Jn 4,8). Mais les difficultés de notre vie font que, parfois, nous ne sachions pas le découvrir. Et, en bonne logique, nous nous plaignons et nous refusons les croix que le Seigneur nous tend.
    Il a dû être difficile pour Saint Joseph de voir que Marie «avant qu'ils aient habité ensemble, fut enceinte par l'action de l'Esprit Saint». Il avait décidé de la répudier, mais «en secret». Mais, en même temps, «lorsque l'ange du Seigneur lui apparut en songe», lui dévoilant qu'il devait devenir le père légal de l'Enfant, il accepta immédiatement «et il prit chez lui son épouse».

    Le Carême est une bonne occasion pour découvrir ce que Dieu attend de nous, et renforcer notre désir de le mener à bien. Demandons au bon Dieu, comme nous le dirons dans la prière de la Messe d'aujourd'hui, «que les mérites de l'Époux de votre très sainte Mère soient notre secours, nous vous en prions, Seigneur».
    Qu'Il nous fasse avancer dans notre chemin de conversion tout en imitant Saint Joseph dans l'acceptation de la volonté de Dieu et l'exercice de la charité envers notre prochain. Et, en même temps, rappelons-nous que «toute la sainte Église est débitrice avec la Mère Vierge, car c'est à travers Elle que l'Église a reçu le Christ, mais, ensuite, Saint Joseph est celui qui mérite le plus notre remerciement et notre révérence» (Saint Bernardin de Sienne).

La Messe en honneur de St Joseph
samedi 19 mars à 10h00 à Allonnes

lundi 14 mars 2022

Lancement de la campagne du denier
MARS 2022
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Notre paroisse lance en ce début de carême, son appel annuel à la générosité pour le denier.

Le denier sert exclusivement à la rémunération et à la formation des personnes qui permettent à l’Eglise en Anjou de vivre et de rayonner: les prêtres, en activité et à la retraite, les séminaristes, les laïcs et les religieuses en mission.

Sans eux, la mission pastorale de l’Eglise et l’Evangélisation ne seraient pas possibles: le devoir de notre communauté est de subvenir à leurs besoins matériels.

Donner au denier est VITAL pour notre Eglise, qui ne reçoit aucune subvention et ne vit que de dons. Particularité dans notre diocèse, le denier est collecté PAR et POUR les paroisses.

Alors, donnons avec Foi, et avec Joie, pour notre Eglise d’Anjou: merci à chacun pour votre générosité!





vendredi 11 mars 2022

2 Dimanche de Carême

Ù Pour la semaine qui vient:

Voici mon Fils, écoutez-le!
    Dans l’ordinaire d’une vie se détachent quelques moments forts, des expériences révélatrices qui ont le poids de l’évidence. Tel est le mystérieux épisode de la Transfiguration, qui jette une admirable lumière sur la «gloire» de Jésus, c’est-à-dire sa divinité (évangile). La présence de Moïse et d’Élie, qui symbolisent l’un la Loi, l’autre les Prophètes.
    La Transfiguration fortifie notre foi et nourrit notre espérance car elle nous est donnée comme une promesse. C’est l’aboutissement de l’Alliance que Dieu a voulu nouer avec l’humanité, en choisissant d’abord Abram. Totalement disponible à l’appel de Dieu, il reçoit le nom nouveau d’Abraham, en signe d’une nouvelle vie et devient un modèle pour la multitude innombrable de croyants (première lecture).
    Notre Eucharistie de ce dimanche est l’humble et réelle anticipation du grand banquet où le Père invite la famille humaine.

Il est bon d’être ici.
    La Transfiguration, c’est comme un avant-goût de Pâques. Cette expérience fut accordée à trois disciples privilégiés de Jésus, en route vers Jérusalem où le Maître allait être mis à mort avant de ressusciter dans la gloire. De même, quelques semaines avant la célébration pascale, la liturgie en proposant ce récit au candidat au baptême et à tous les chrétiens, leur suggère d’adopter l’attitude des disciples: «Il est bon d’être ici», avec Jésus.
    Pourtant, il y avait de quoi être troublé puisque Jésus venait d’annoncer sa passion et avait exhorté chacun à prendre sa croix pour le suivre. De même, pour les catéchumènes et les baptisés est semée d’épreuves de toute sorte. Parfois, cependant, survient une éclaircie, souvent inattendue, qui redonne courage pour marcher à la suite de Jésus. La Transfiguration le fut pour les disciples.
    Alors, sans attendre le, ciel, terre promise par excellence, nous pouvons déjà découvrir sur la terre où nous menons notre existence actuelle les merveilles de Dieu toujours à l’œuvre, et nous exclamer avec le psalmiste (psaume 26)«J’en suis sûr, je verrais les bontés du Seigneur sur la terre des vivants».

  • Tous les vendredis de Carême - Chemin de Croix à 15h00 (le prochain 18 mars à Neuillé)
  • Tous les lundis de Carême - les LAUDES (prière du matin avec les psaumes) à Allonnes à 7h00
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jeudi 10 mars 2022

Aider les jeunes


    
Quatre élèves de l'école St Louis à Saumur vont partir bientôt à Rome pour la canonisation de st. Charles de Foucauld. Si quelqu'un voudrais bien les aider, voici le lien - vous pouvez découvrir la page de collecte: https://credofunding.fr/fr/institutionsaintlouis-canonisation


vendredi 4 mars 2022

1 Dimanche de Carême

Ù Pour la semaine qui vient

Pour que l’homme soit un fils.
    Si nous ne portons pas attention aux Écritures et particulièrement à l’Évangile, le Carême risque de devenir un exercice psycho-spirituel dans lequel la méditation remplacerait la prière, le régime tiendrait lieu de jeûne et les sentiments, de charité. Or la seule raison d’être de ces «remèdes» est de nous aider à «progresser dans la connaissance de Jésus Christ». Rappelons-nous la formule de saint Jérôme disant qu’ignorer les Écritures, c’est ignorer le Christ.
    Dans le récit des tentations (évangile), le Malin cherche à nier qui est véritablement Jésus. Les paroles du diable commencent toutes ainsi «Si tu es le Fils de Dieu…». La victoire de Jésus sur le démon ne réside pas dans un comportement de super héros ou d’un démiurge, capable de faire voler en éclat les lois de la matière, de la géopolitique ou encore de la gravité. 
    Notre travail de Carême consiste à devenir des fils de Dieu. Quel beau projet et quel séduisant avenir. La réponse aux tentations se trouve dans la prière du Notre Père: Que ton règne vienne, demandons-nous, et non le pouvoir et la gloire des royaumes terrestres; Notre Père qui es aux cieux, prions-nous, car il est le seul Seigneur devant lequel nous nous prosternons. Enfin, quand nous refusons d’amasser argent et autres futilités, nous demandons: Donne-nous notre pain de ce jour.

EN CE DÉBUT DE CARÊME…
    Si nous y regardons de plus près, les textes de ce dimanche et des jours à venir nous conduisent à mettre Dieu à la première place de nos préoccupations, toutes aussi légitimes soient-elles! Le temps du Carême, c’est le risque fou de l’amour, le temps du vis-à-vis plus intense avec le Dieu de Jésus Christ. Pour cela, il nous faut aller, comme le Christ lui-même à travers le désert et le silence, pour dépasser nos combats intérieurs et Le laisser agir. Vivre le Carême, c’est une marche personnelle, vécue en Église. C’est un véritable itinéraire de foi. Celui qui met tout son espoir en Dieu, Dieu lui pardonnera, le bénira et l’accompagnera «car il a entendu notre voix».
    Dans notre marche, nous pouvons puiser nos forces dans la Sainte Écriture.
    Si Lui, le Fils de Dieu nous montre la route à emprunter pour tenir bon, laissons-nous conduire au long de ces semaines par son Esprit. Nous vivrons alors le Carême non plus comme un temps aride et creux mais bien plus comme un temps de purification intérieure
    • Tous les vendredis de Carême - Chemin de Croix à 15h00 (le prochain 11 mars à La Breille les Pins)
    • Tous les lundis de Carême - les LAUDES (prière du matin avec les psaumes) à Allonnes à 7h00
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