samedi 26 décembre 2020

La fête de la Sainte Famille

🔆 LORSQUE L’ENFANT PARAÎT… 
    L’enfant qui vient de naître va peu à peu ouvrir les yeux sur le monde qui l’entoure, et ouvrir son cœur à des parents qui l’aiment et lui apprendront à aimer. En entrant dans notre monde, Jésus s’est remis entre les mains de ses parents et a partagé leur vie. Avec eux il a été le membre d’une famille, habitant d’un pays, contemporain d’une époque, pratiquant du Temple, homme au milieu des hommes. 
🔆 Profitons du confinement pour méditer sur la Fidélité
    Il ne s’agit pas de chercher dans la Sainte Famille, telle que Luc la met en scène, un modèle formel pour nos familles humaines. Mais les textes mettent l’accent sur ce qui demeure essentiel dans toute vie de famille: la foi. Foi dans l’autre et dans sa parole, foi des enfants en leurs parents, des parents en leurs enfants, foi dans un Dieu qui habite parmi nous, qui prend les risques de la vie avec nous – pour nous. Dans l’Enfant Jésus se concentrent toute la vieille histoire de la promesse faite à Abraham et l’avenir d’une humanité pleine de contradictions. La croix du Christ annoncée par Syméon est le fléau de cette balance qui évalue «les pensées secrètes» des hommes et départage le bon grain de l’ivraie. Marie, mère d’humanité, sera la première à être transpercée par ce glaive qui nous atteint tous, un jour ou l’autre, au joint de l’âme et du cœur. 
🔆 Profitons du confinement pour méditer sur la fête de la Sainte Famille 
    Contestée, vilipendée, souvent déchirée, la famille n’en demeure pas moins, contre vents et marées, l’ancrage irremplaçable des personnes et le ciment de la société. Il est vrai aussi que la famille doit évoluer pour remplir sa fonction essentielle dans des contextes sans cesse nouveaux.
    Quant au message biblique, tel par exemple que nous le propose la fête d’aujourd’hui, il ouvre nos familles sur l’ensemble du genre humain, sur les vicissitudes de l’histoire ainsi que sur l’aventure de la foi. D’Abraham à Syméon et à Anne, l’Alliance voulue par Dieu s’accomplit moyennant un dialogue jamais achevé avec les hommes. Or, qui dit dialogue dit confiance, ce qui est le sens premier du mot « foi ». Telle est l’âme de tout foyer rayonnant comme de toute relation constructive à l’autre, homme ou Dieu.

🔆 La  FEUILLE hebdomadaire à imprimer et partager avec vos voisins qui n'ont pas internet ou ne sont pas trop doués :)



mercredi 23 décembre 2020

La Nativité du Seigneur

Dieu a marché sur la terre…! 

    La pauvre crèche de Noël est un curieux palais d’un soir pour le roi des rois – Jésus, qui naît entre la paille et le crottin (excusez-moi l’expression). Comme si ce soir-là Dieu voulait rejoindre les petits et les faibles. Oui, Dieu choisit résolument la fragilité.
    Il est mignon dans sa crèche. Tout joufflu, tout rose, tout souriant… Attendez, il y a mieux encore: il ne se disputera jamais, ne fera jamais ni colère, ni caprice, ni mensonge… Rien de tout cela! Jésus est un enfant parfait. Parce qu’il est Dieu et que Dieu est parfait. Voilà le risque de Noël. Tellement attendrissant que nous avons du mal à reconnaître Dieu dans l’enfant de la crèche. Et on oublie trop vite que ce joli conte de Noël va mal se terminer. Jésus vient en Sauveur et Rédempteur: il prend chair pour notre Salut! Et va souffrir en mourant sur une croix. Naître pour s’offrir, naître pour souffrir!
    Cette naissance est une bonne nouvelle, la plus grande chose qui soit arrivée à l’humanité. Oui Jésus a vraiment existé. Tous les gens de bonne volonté le reconnaissent. D’ailleurs, comment mettre en doute l’existence historique de celui qui a rompu en deux le calendrier – autrefois chrétien – aujourd’hui universel?
    Mais voilà, s’il a existé, qui est-il? Un homme bien? Il y en déjà pas mal, pas assez d’ailleurs, sur la terre! Un sage? Un gourou de plus? Non, les chrétiens n’ont pas peur de dire que c’est Dieu. Oui, Dieu: Dieu a marché sur la terre! Pour nous apporter la paix, la lumière et le salut! Pour nous dire que vivre n’est pas tout. Que la vie a un sens. Qu’elle est tournée, orientée vers lui. 
    Cette grâce, cette paix de Noël, vous pouvez la goûter ici tous les dimanches quand ils se rassemblent autour du Christ, l’Emmanuel, Dieu avec nous! 
    Il nous redonne par son sourire et sa joie, par son innocence, une lumière dans nos ténèbres. Il nous relève, nous donne la force. Depuis la nuit de Noël, il aime se cacher dans le plus pauvre et le plus humble Oui, joyeux Noël à tous et comme disent les anges de Noël: paix aux hommes!

Brain s/Allonnes

Dieu notre Père, 
plus haut que la voix des prophètes, s’élève aujourd’hui le silence d’en enfant qui dort: 
ton amour a percé nos ténèbres. 
Dans cet enfant nouveau-né, fais-nous reconnaître en vérité ton Verbe de vie 
et le reflet resplendissant de ta Gloire.

Bonne fête de Noël
Nzoni Matanga ti Noël 
Merry Christmas 
Feliz Natal; Chúc mừn
Giáng sinh
Feliz Navidad
Radosnych Swiat Bozego Narodzenia!

 🔆 La  FEUILLE hebdomadaire à imprimer et partager avec vos voisins qui n'ont pas internet ou ne sont pas trop doués :)


Vivy

lundi 21 décembre 2020

Fête de la Nativité du Seigneur - les horaires

    Nous aurons la chance et la joie de célébrer Noël dans des conditions
«presque normales». 
Il nous appartient cependant, de respecter au maximum les règles sanitaires, pour limiter la propagation du virus et protéger nos frères et sœurs les plus fragiles.

    Les églises ont été aménagées en respectant la règle d'un banc sur deux et il vous est demandé de laisser 2 places vacantes entre chaque personne si celles-ci ne sont pas de la même famille. La capacité d'accueil est donc réduite par 3.

    Nous vous proposons plusieurs célébrations, afin de répartir au mieux le nombre de participants et de ne pas atteindre la saturation de la capacité de l'église:

Le 24 Décembre
  • 18h00 Brain s/Allonnes: Veillée de Noël préparée et animée par l’Aumônerie des Gens du Voyage.
  • 18h30 Allonnes: Veillée de Noël, vivement conseillée aux familles avec enfants de 0 à 14 ans.
  • 21h00 Allonnes: Veillée de Noël, destinée de préférence aux adultes et familles avec enfants de 15 ans et plus.
Le 25 Décembre
  • 08h00 La Breille-Les-Pins
  • 11h00 Vivy.
    Nous invitons tous les paroissiens à respecter les règles sanitaires. Et nous recommandons aux personnes fragiles de suivre les célébrations télévisées et de nous informer si elles souhaitent recevoir la communion chez elles.


samedi 19 décembre 2020

Rorate


    L'avent dure 4 dimanches. La Messe de l’aurore appelée «Roraté» aussi. Tous les lundis de l'Avent à 7h00 (du matin!) nous vous proposons cette Messe à l'église d'Allonnes. 
    Messe de Roraté est célébrée à l'aube à la lueur des bougies, afin de faire de nous des «Guetteurs d’aurore», qui attendent dans l’espérance l’avènement du Messie promis - le Christ.



Bien fraternellement en union de prière.




vendredi 18 décembre 2020

4 Dimanche de l'Avent

🔆 Profitons du confinement pour méditer sur le mystère d’une présence. 
    En ce dimanche qui précède Noël, faisons silence et contemplons le mystère que le prophète Nathan avait annoncé au roi David (première lecture) et qui est aujourd’hui «porté à la connaissance de toutes les nations» (deuxième lecture). Gloire à Dieu qui, grâce à la foi de Marie, femme choisie parmi toutes les femmes, nous a donné Jésus (évangile) pour que nous entrions dans l’intimité de cette relation entre le Père et le Fils. Le «oui» de Marie ouvre à Dieu un chemin en notre humanité. Dieu rejoint son peuple en prenant le visage même de l’homme.
🔆 Profitons du confinement pour Jésus, l’enfant de la promesse. 
    Bientôt Noël. Le Seigneur est proche de nous quand nous nous faisons proches de lui. Accueillons-le. C’est notre vocation de le donner au monde, comme Marie. 
    David voulait bâtir une maison, un temple pour Dieu (première lecture), intention louable, mais l’homme ne peut pas enfermer Dieu dans l’espace et le temps, ni le garder sous la main à sa disposition. Cependant le dessein de Dieu, ce que Paul appelle son «mystère» (deuxième lecture), qui échappe à toute prévision humaine, engage Dieu dans notre histoire: il promet à David une «maison», une lignée, et sa fidélité d’âge en âge (psaume)
    Marie prie les psaumes depuis son enfance, comprend le message de l’ange: Dieu réalise lui-même le désir de l’homme de le rejoindre. Il fait alliance avec l’humanité. En Jésus, né de la maison de David, Dieu accomplit sa promesse. L’histoire a un sens. 
    La jeune fille appelée Marie, accordée en mariage à un homme appelé Joseph, avait appris de sa mère et des siens la longue histoire de tendresse de Dieu avec son peuple. 
🔆 Profitons du confinement pour méditer sur Joseph 
    C’est ainsi que Joseph a aimé Jésus, qui est appelé dans les quatre Évangiles «le fils de Joseph». Les deux évangélistes qui ont mis en relief sa figure, Matthieu et Luc, racontent peu, mais bien suffisamment pour le faire comprendre, quel genre de père il a été et quelle mission lui a confiée la Providence. Nous savons qu’il était un humble charpentier, promis en mariage à Marie; un «homme juste» (Mt 1, 19), toujours prêt à accomplir la volonté de Dieu manifestée dans sa Loi, et à travers quatre. Il eut le courage d’assumer la paternité légale de Jésus à qui il donna le nom révélé par l’ange: «Tu lui donneras le nom de Jésus, car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés» (Mt 1, 21)
    Après Marie, Mère de Dieu, aucun saint n’a occupé autant de place dans le Magistère pontifical que Joseph, son époux. J’espère que j’aurai encore (dans les semaines qui viennent) la chance de partager avec vous quelques réflexions personnelles sur cette figure extraordinaire, si proche de la condition humaine de chacun d’entre nous. Ce désir a mûri au cours de ces mois de pandémie durant lesquels nous avons pu expérimenter, en pleine crise qui nous frappe, que «nos vies» sont tissées et soutenues par des personnes ordinaires, souvent oubliées, qui ne font pas la une des journaux et des revues, ni n’apparaissent dans les grands décisifs de notre histoire. Nous pouvons tous trouver en saint Joseph l’homme qui passe inaperçu, l’homme de la présence quotidienne, discrète et cachée, un intercesseur, un soutien et un guide dans les moments de difficultés. Saint Joseph nous rappelle que tous ceux qui, apparemment, sont cachés ou en «deuxième ligne» jouent un rôle inégalé dans l’histoire du salut. À eux tous, une parole de reconnaissance et de gratitude est adressée.


Villebernier
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vendredi 11 décembre 2020

3 Dimanche de l'Avent - GAUDETE

🔆  Profitons du confinement pour méditer sur la joie!
    «Je tressaille de joie dans le Seigneur» A cette exclamation du prophète répond le cri du cœur de l’apôtre Paul: «Frères, soyez toujours dans la joie!» À l’approche de Noël, c’est en effet l’allégresse qui imprègne la liturgie de ce dimanche. Elle prend sa source dans la Bonne Nouvelle annoncée aux pauvres: celui que Dieu a consacré par l’onction – le «Christ» - est envoyé non pour dominer les nations, mais pour guérir des cœurs meurtris et libérer les captifs. Il nous appartient aujourd’hui de le reconnaître face aux nombreux prétendants qui se bousculent à la foire aux hommes providentiels et aux guides inspirés. À la suite de Jean Baptiste, les chrétiens rendent témoignage à la Lumière qui apporte au monde la joie de Dieu. 
🔆  Profitons du confinement pour proclamer la Bonne Nouvelle: Dieu sauve! 
    Tressaillez de joie – voici l’invitation de ce troisième dimanche de l’Avent qui, dans la tradition de l’Église, est appelé dimanche de la joie – GAUDETE. 
    Pourquoi nous réjouir, mais qui savons bien que la joie ne se commande pas? Jean le Baptiste nous révèle le secret de la seule vraie joie: «Au milieu de vous se tient celui que vous ne connaissez pas» (évangile). Seule la foi peut reconnaître en Jésus le sauveur qui accomplit la Bonne Nouvelle annoncée par les prophètes (première lecture). Seule la foi peut discerner dans le monde "la valeur de toute chose″ (deuxième lecture)
    Réunis en ce dimanche pour célébrer Celui que le monde et de la peine à connaître, laissons-nous entraîner par la puissance du Magnificat dans l’exultation de Marie pour rendre grâce à l’unique de notre joie, Jésus Christ, notre Sauveur et notre Dieu. 
🔆  Profitons du confinement pour nous réjouir de la venue du Sauveur. 
    Soyez dans la joie! Réjouissez-vous! C’est le leitmotiv de la liturgie de ce dimanche appelé Gaudete – le premier mot latin de l’antienne d’ouverture. Le thème est présent dans trois des quatre lectures de ce jour. La joie dont il s’agit n’est pas superficielle, anecdotique ou passagère. Elle s’enracine, comme le dit Paul. Notre joie est fondée sur cet inconnu dont nous discernons la présence dans nos vies. C’est lui qui motive notre action de grâce. A la jonction entre la première alliance et la nouvelle, Jean Baptiste et la Vierge Marie sont les hérauts (personne chargée d’annoncer publiquement la nouvelle), de ce dimanche du Gaudete. Cet appel rassemble l’attente d’Israël et la promesse de son accomplissement. Le livre d’Isaïe (première lecture) chante un personnage messianique mais ce personnage «consacré par l’onction» est aussi bien le Messie attendu qu’Israël, le peuple choisi par Dieu. Jésus lui-même s’est appliqué cette prophétie. Marie reprend l’exultation à son tour dans le chant du Magnificat. La joie de l’Évangile. Ne serait-ce pas le plus beau cadeau à demander pour ce Noël? Joie des cœurs qui cherchent Dieu, joie de ceux qui partagent la même confiance en la promesse, joie du Magnificat de Marie. Oui «soyez toujours dans la joie», nous dit saint Paul. Même dans la détresse, dans la solitude. Car nous pouvons compter sur le Seigneur: le Dieu de la paix qui s’offre, si nous lui ouvrons nos cœurs et nos mains. Le Dieu de la vie et de la joie, qui fait de nous ses enfants depuis notre baptême. En son Fils Jésus, il est déjà présent – là, au milieu de nous. 

Varennes sur Loire
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vendredi 4 décembre 2020

2 Dimanche de l'Avent

🔆 Profitons du confinement pour méditer sur l’Esprit et sur le baptême. 
    L’humanité d’aujourd’hui aspire à un monde qui réponde mieux que l’actuel à son exigence de justice et à son insatiable soif de bonheur. Nous sommes plutôt bien sur cette terre et avec nous-mêmes. D’ailleurs, n’est-ce pas ce que la convenance sociale nous enjoint de rechercher: bonheur, épanouissement personnel, écologie de la vie…? C’est dire que la venue du jour de Dieu ne nous préoccupe que moyennement. 
    Hélas! Rares sont ceux et celles qui acceptent de confronter leurs rêves ou leurs désirs aux lentes maturations que requiert une vraie conversion des mentalités et des comportements. Aux juifs déportés à Babylone, un prophète donne cette assurance: oui, le retour est à la portée d’espérance, mais c’est Dieu qui prendra la tête de son peuple meurtri et pardonné, écartant tous les obstacles de la route. Préparer le chemin du Seigneur, c’est aussi la mission du Baptiste. Seul l’homme repentant est apte à accueillir le Messie et à faire sienne la patiente de Dieu dont parle l’apôtre. Il faut de la ténacité pour rendre droits les sentiers tortueux. 
🔆 Profitons du confinement pour proclamer la Bonne Nouvelle: Le Seigneur vient. 
    COMMENCEMENT de la Bonne Nouvelle! Ainsi commence l’évangile de Marc qui nous accompagnera tout au long de cette année liturgique. L’expression «Bonne Nouvelle» est la traduction du mot «évangile», c’est-à-dire un message joyeux. L’évènement heureux proclamé d’emblée ici est le suivant: Jésus de Nazareth est à la fois «Christ» (ou Messie) et «Fils de Dieu». 
    L’objectif de Marc est de permettre de découvrir en quoi Jésus Christ est Messie consacré par Dieu, nouveau roi qui a reçu l’onction pour prendre la tête de son peuple et, plus encore, le Fils de Dieu révélé dans sa mort et sa résurrection. 
    Le temps de l’Avent peut devenir ainsi un temps fort où, en Église, nous nous exerçons à l’attente du Seigneur, au renouvellement de notre espérance du Royaume à venir. La liturgie oriente notre foi non pas vers un Dieu qui serait resté derrière nous, comme si nous ne le trouvions que dans l’enfant né à Bethléem, mais vers la venue du Seigneur à la fin des temps. 
    Lentement d’Avent en Avent, nous comprenons mieux, dans la foi que nous avons à préparer dans notre vie, dans notre société, dans notre monde, le chemin du Seigneur… 
🔆 Profitons du confinement pour devenir des guetteurs 
    Les signes du salut qui sont déjà donnés, la parole de Dieu nous invite à assumer notre vie de chrétien: l’appel devenir guetteurs. 
    Le guetteur n’est pas celui qui ne fait que scruter l’horizon! Le guetteur doit toujours être dans le présent; le présent de l’avenir, c’est son attente. 
    Attention et attente sont deux aspects de notre vie chrétienne en ce temps d’Avent. L’attente doit être notre engagement actuel. Les guetteurs, autrefois étaient les prophètes. Guetter, c’est donc assumer sa responsabilité. Isaïe, Paul et Marc nous le disent : «consoler, consoler mon peuple», de «tracer une route», de «tout faire» pour annoncer celui qui vient et de le présenter. Nous devons examiner les Écritures. 
    Devenons des guetteurs pour annoncer à notre tour le Royaume!

Les célébration de 2ème Dimanche de l'Avent:
  • Samedi 5 décembre: Brain à 18h30
  • Dimanche 6 décembre: Allonnes à 9h30 et à 11h00
  • Dimanche 6 décembre: Brain à 15h00
🔆 8 décembre (mardi) - la fête d'Immaculée Conception
Les messe:
  • 9h00 à Brain-sur-Allonnes
  • 18h00 à Varennes-sur-Loire
  • 18h30 à Russé
Neuillé
🔆 La  FEUILLE hebdomadaire à imprimer et partager avec vos voisins qui n'ont pas internet ou ne sont pas trop doués :)