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Le 14 septembre, l’Église n’exalte pas une croix quelconque, ou toutes les croix. Elle exalte la Croix de Jésus, parce qu’en elle s’est révélé au plus haut point l’amour de Dieu pour l’humanité. C’est ce que rappelle l’Évangile de Jean en disant: «Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique» (Jn 3, 16). Contrairement au Vendredi Saint, le croyant est invité à contempler la Croix et la mort de Jésus, non comme un lieu de souffrance, mais comme une source de vie, une source de guérison pour chacun.
La Croix Glorieuse indique l’unique voie du salut. Elle est «témoignage d’espérance» pour tous, écrit Padre Pio (1887-1968) à son père spirituel. Par expérience personnelle, le saint frère capucin, sait que pour un chrétien «le véritable remède pour ne pas chuter, c’est de prendre appui sur la croix de Jésus, en mettant toute sa confiance en lui seul, car c’est pour notre salut qu’il a voulu y être suspendu».
Le pape François le rappelle si souvent à ceux qui veulent connaître Jésus. «Vous devez ”regarder à l’intérieur de la croix”, car c’est là que ”se révèle sa gloire”, là que l’homme, dans les plaies du Christ, trouve “la guérison”», a-t-il exhorté lors d’un angélus dominical. «De cette Croix jaillit la miséricorde du Père qui embrasse le monde entier. Par la Croix du Christ le malin est vaincu, la mort est défaite, la vie nous est donnée, l’espérance rendue», rappelait-il, le 14 septembre 2017.
Cette fête de la Sainte-Croix, le 14 septembre, est l’occasion pour les chrétiens d’avoir une pensée pour tous ces frères et sœurs persécutés et tués à cause de leur fidélité au Christ, à travers le monde. Ces frères et sœurs qui ont porté et portent leur croix comme Jésus a porté la sienne, vivant d’Amour au sein de la souffrance, dans les pays «où la liberté religieuse n’est pas encore garantie ou pleinement réalisée» mais ceux aussi «où, en principe, on protège la liberté et les droits humains, mais où concrètement les croyants, et en particulier les chrétiens, connaissent des restrictions et des discriminations», comme rappelle ponctuellement le Saint-Père.
La Croix Glorieuse indique l’unique voie du salut. Elle est «témoignage d’espérance» pour tous, écrit Padre Pio (1887-1968) à son père spirituel. Par expérience personnelle, le saint frère capucin, sait que pour un chrétien «le véritable remède pour ne pas chuter, c’est de prendre appui sur la croix de Jésus, en mettant toute sa confiance en lui seul, car c’est pour notre salut qu’il a voulu y être suspendu».
Le pape François le rappelle si souvent à ceux qui veulent connaître Jésus. «Vous devez ”regarder à l’intérieur de la croix”, car c’est là que ”se révèle sa gloire”, là que l’homme, dans les plaies du Christ, trouve “la guérison”», a-t-il exhorté lors d’un angélus dominical. «De cette Croix jaillit la miséricorde du Père qui embrasse le monde entier. Par la Croix du Christ le malin est vaincu, la mort est défaite, la vie nous est donnée, l’espérance rendue», rappelait-il, le 14 septembre 2017.
Cette fête de la Sainte-Croix, le 14 septembre, est l’occasion pour les chrétiens d’avoir une pensée pour tous ces frères et sœurs persécutés et tués à cause de leur fidélité au Christ, à travers le monde. Ces frères et sœurs qui ont porté et portent leur croix comme Jésus a porté la sienne, vivant d’Amour au sein de la souffrance, dans les pays «où la liberté religieuse n’est pas encore garantie ou pleinement réalisée» mais ceux aussi «où, en principe, on protège la liberté et les droits humains, mais où concrètement les croyants, et en particulier les chrétiens, connaissent des restrictions et des discriminations», comme rappelle ponctuellement le Saint-Père.